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le 16/02/2009 à 18:41
Debian GNU/Linux passe en version 5.0
Le jour de la Saint-Valentin, les amoureux de Linux n'ont pas été déçus puisque l'équipe de Debian Project a annoncé la sortie officielle de la distribution GNU/Linux de Debian en version 5.0 au nom de code Lenny.

Après 22 mois de développement, le système d'exploitation est désormais compatible avec la norme de système de fichiers FHS en version 2.3 et les applications programmées sur les standards du FSB 3.2. La distribution est livrée avec les gestionnaires de fenêtre GNOME 2.22.2, KDE 3.5.10, Xfce 4.4.2 et LXDE 0.3.2.1.

En tout, Debian GNU/Linux 5.0 pourrait prendre en charge jusqu'à 12 architectures différentes à savoir : Sun SPARC (sparc), HP Alpha (alpha), Motorola/IBM PowerPC (powerpc), Intel IA-32 (i386), IA-64 (ia64), HP PA-RISC (hppa), MIPS (mips, mipsel), ARM (arm, armel), IBM S/390 (s390), AMD64 et Intel EM64T (amd64).

En plus du système d'exploitation, plusieurs logiciels sont livrés, notamment la suite bureautique OpenOffice en version 2.4.1, l'éditeur graphique The Gimp 2.4.7, le navigateur Iceweasel 3.0.6 basé sur Firefox et le gestionnaire d'email Icedove 2.0.0.19, une version de Thunderbird.

Basée sur le kernel de Linux 2.6.26, Debian GNU/Linux 5.0 embarque aussi PostgreSQL 8.3.6, MySQL 5.0.51a, Apache 2.2.9, Samba 3.2.5, Python 2.5.2 et 2.4.6, ou encore Perl 5.10.0.

Retrouvez ici l'annonce officielle et plus d'informations.
Quelques jours aprs avoir annonc la sortie d'une nouvelle version de Norton Utilities base sur les technologies de l'diteur australien PC Tools
, Symantec s'apprte lancer un autre nouveau produit issu d'un rachat : celui de SwapDrive Inc, spcialis dans la sauvegarde en ligne. Intitul Norton Online Backup, le service propose un espace de stockage en ligne de 25 Go, associ une interface web, et devrait tre commercialis au mois de mars, aux alentours de 50 euros par an (tarifs non confirms), avec possibilit d'tendre la taille de son espace de sauvegarde par des packs supplmentaires allant jusqu' 100 Go. La solution sera compatible avec Windows XP et Vista, et l'interface web accessible depuis
Internet Explorer, Mozilla Firefox et Safari.

On peut s'tonner du lancement de ces deux applications alors que Symantec propose dj, via sa solution "tout en un" Norton 360, des outils de sauvegarde en ligne et d'optimisation du PC. Pour Homayoun Sarkechik, responsable marketing des produits grand public de l'diteur, Norton Utilities et Norton Online Backup s'adressent des publics diffrents, "disposant dj d'une solution de scurit comme Norton Internet Security ou un produit concurrent". Interrog sur la pertinence d'un produit de sauvegarde en ligne l'heure o les dbits en upload sont encore trs bas, en tous cas en France, Homayoun Sarkechik prfre parier sur l'avenir : "Nous pensons que ce type de sauvegarde va se dvelopper. Pour l'instant nous sommes limits par l'ADSL, mais il faut regarder ce qu'il est possible de faire aujourd'hui avec une connexion Internet, par rapport ce que l'on pouvait faire il y'a quelques annes. Avec l'arrive de la fibre, les dbits vont augmenter."

Norton Utilities 14 disponible en France

Paralllement, Norton Utilities 14 est dsormais commercialis en France au prix de 39,99 euros. Homayoun Sarkechik a profit du lancement du logiciel d'optimisation pour prciser son positionnement par rapport aux produits existants de Symantec (Norton SystemWorks) et PC Tools (Desktop Maestro). Selon M. Sarkechik, Norton Utilities est "un mlange de technologies. Certains aspects proviennent des logiciels de PC Tools, et d'autres technologies de Symantec". Concernant l'avenir de SystemWorks, le directeur marketing grand public se montre assez flou : "Pour le moment, les produits vont cohabiter. Par la suite, nous verrons ce qu'il en est pour SystemWorks. Les utilitaires de PC Tools devraient quant eux continuer tre commercialiss sous leur propre bannire.
Même si l'opération a perdu de son intérêt depuis la mise en place de l'App Store, la question reste d'actualité pour beaucoup d'utilisateurs d'iPhone ou d'iPod Touch : est-il légal d'opérer le jailbreak de son appareil ? Pour mémoire, le jailbreak (ou "sortie de prison") consiste en une série de manipulations permettant de casser certaines des protections logicielles mises en place par Apple au sein de son environnement mobile, afin d'accéder aux fichiers du système d'exploitation, et d'y installer les applications de son choix, même si celles-ci n'ont pas été autorisées par le fabricant.

La question n'est pas nouvelle : elle se pose en réalité depuis la mi-2007, et l'apparition des premiers outils dédiés au jailbreak. Bien qu'Apple ait à plusieurs reprises entrepris de combler les failles exploitées par les auteurs des outils permettant le jailbreak, la firme n'avait jamais explicité publiquement sa position sur la question. C'est désormais chose faite, suite à une requête de l'Electronic Frontier Foundation, organisation dédiée à la défense des libertés individuelles sur Internet.

Dans le cadre du processus de révision de la loi DMCA (Digital Millennium Copyright Act), qui vise, aux Etats-Unis, à encadrer la propriété intellectuelle à l'heure des technologies de l'information, l'EFF a en effet demandé au bureau américain sur le copyright de reconnaitre une exception au droit d'auteur relative aux opérations de jailbreak, de façon à permettre aux utilisateurs d'iPhone de disposer d'applications non officielles.

Une démarche qui manifestement, n'a pas été du goût d'Apple. Jusqu'ici muette, la firme a finalement entrepris de s'exprimer sur le sujet : par le biais d'une longue communication (document PDF, 27 pages, en anglais), Apple explique de son point de vue, les outils autorisant le jailbreak sont parfaitement illégaux.

« Les techniques de jailbreak, largement généralisées, font appel à des modifications non autorisées du bootloader et de l'OS (…) ce qui conduit à une violation du copyright apposé sur ces programmes », indiquent les experts mandatés par Apple. Des outils comme Pwnage ou QuickPwn contiendraient donc des pans de code lui appartenant, et chaque installation de ces logiciels conduirait à une nouvelle infraction aux droits afférents.

"Il suffit de transposer les arguments d'Apple au monde de l'automobile pour reconnaitre leur absurdité", estime de son côté Fred von Lohmann, avocat pour l'EFF. "General Motors pourrait nous dire que, pour notre propre sécurité, toutes les opérations de service devraient être effectuées par un réparateur agréé GM, qui n'utiliserait que des pièces certifiées par GM". Apple affirme pour sa part que le jailbreak est susceptible de compromettre la sécurité et le bon fonctionnement d'un iPhone ou d'un iPod Touch.
Microsoft devrait-il facturer ses clients souhaitant revenir à une version antérieure de Windows ? C'est la question qui est actuellement soulevée aux Etats-Unis. En effet, en juin 2008, la californienne Emma Alvarado a acheté un PC livré avec Windows Vista en version OEM et a décidé de trainer Microsoft en justice pour lui avoir facturé 59,25 dollars pour revenir vers Windows XP. La cliente invite les autres utilisateurs à se joindre à elle afin d'entreprende un recours collectif contre Microsoft.

Cette plainte (PDF), déposée à la cour fédérale de Seattle, précise que : "les acheteurs ont rencontré plusieurs problèmes avec le système d'exploitation Vista, lesquels ont été rendus publics au travers de nombreux médias. En conséquence, beaucoup d'utilisateurs préféreraient acheter un nouvel ordinateur avec le système Windows XP pré-installé ou du moins non livré avec Windows Vista".

Selon Emma Alvarado, Microsoft afficherait des pratiques commerciales déloyales et serait en violation du Unfair Business Practices Act de l'état de Washington. Par ailleurs, la firme de Redmond ne respecterait pas la loi de protection du client (Consumer Protection Act).

Dans le courant de l'été 2007, Microsoft a lancé un programme permettant aux acquéreurs de Windows Vista de repasser vers Windows XP. Aussi, sous certaines conditions, les fabricants peuvent continuer de distribuer Windows XP avec leurs ordinateurs.

La semaine dernière, nous avions découvert l'existence d'un document confirmant la mise en place d'un programme d'upgrade de Vista vers Windows 7. Logiquement, Microsoft devrait aussi proposer aux clients de rétrograder de Windows 7 vers Vista. Cependant aucune information n'a été révelée sur un éventuel programme de rétrograde de Windows 7 vers XP.
La semaine dernire, Mark Garett, vice-prsident d'Adobe en charge des oprations financires, avait dclar que Silverlight, la technologie utilise par Microsoft pour la diffusion de vidos en ligne et la cration d'applications Internet riches, tait un fiasco avec un taux de pntration de moins en moins important.

Plus prcisment les faits se sont drouls lors de la confrence Thomas Weisel Partners Technology & Telecom au cours de laquelle M. Garrett avait affirm que l'adoption de Silverlight auprs du grand public : "s'est teinte peu peu ces 6-9 derniers mois. Je pense que nous sommes plus innovateurs qu'eux" affirmait-il," Ils ne se sont pas montrs la hauteur ".

Un peu plus tard,Tim Sneath, directeur des technologies de Windows et de Silverlight, releva les propos du directeur d'Adobe et affirma : "l'ide que "l'adoption de Silverlight s'est teinte peu peu ces 6-9 derniers mois" est assez ridicule. Il y a quatre mois, nous avons lanc Silverlight 2 et un mois plus tard nous avons enregistr 100 millions d'installations finalises sur les machines du grand public. Je n'appelle pas a un fiasco.".

Le magazine InfoWorld, qui rapporte cette anecdote, prcise que le site MLB.com, suivant les diffrents quipes de baseball aux Etats-Unis, a renonc l'utilisation de Silverlight pour la diffusion de ses vidos en streaming et a re-sign un partenariat de deux ans avec Adobe pour l'intgration du lecteur Flash.

De son ct, Tim Sneath en profite pour dresser une liste des mdias ayant opt pour la technologie de Microsoft : Netflix, HSN.com, Sky.com, RAI, RTL, France Television, ITV, NHL, SBS sans oublier la Convention Dmocratique Nationale (pour l'investiture de Barack Obama).

Adobe estime que le taux de pntration du lecteur Flash est suprieur 90% dont 55% pour Flash 10, un chiffre qui devrait s'lever 80% dans le courant du second trimestre 2009. Le mois dernier, Adobe a aussi annonc 100 millions d'installations pour l'environnement AIR, permettant de dvelopper des applications Internet riches. Chez Microsoft, aucun chiffre officiel n'a t dvoil.
Si les réseaux d'échanges de fichiers P2P restent pour les internautes le moyen privilégié de récupérer gratuitement films et séries, le Web regorge de sites qui offrent la possibilité d'assouvir ses délictueux besoins sans réel risque de voir sa responsabilité engagée. De nombreuses adresses proposent un accès gratuit, immédiat, et dans une qualité souvent très correcte, à des centaines de films, disponibles sur le mode du streaming (diffusion en direct). On ne télécharge donc pas le dernier Luc Besson, on le regarde en ligne, comme on le ferait d'une vidéo sur YouTube ou Dailymotion.

BeeMotion.fr est l'un d'entre eux. Ou plutôt était l'un d'entre eux, puisque le site vient d'annoncer sa fermeture, que ses responsables espèrent n'être que temporaire, après avoir été nommément attaqué par Luc Besson, réalisateur et producteur français de succès commerciaux tels que la série des Taxi, Le Grand Bleu ou Le Cinquième élément. Samedi, dans une intervention télévisée que vous pourrez consulter sur le site Ozap, ce dernier s'en est en effet pris aux différents acteurs qui profitent, directement ou indirectement, de l'intérêt que revêt le streaming pour les internautes .

Ouvert en 2008, beeMotion proposait jusqu'ici un accès direct à quelque 150 films, hébergés par ses soins via le service Dedibox de Free. "Besson dénonce ouvertement beeMotion au grand jour, et a alerté Free sur notre activité, ce dernier ayant immédiatement réagi en nous sommant de stopper notre activité rapidement", annonce l'un des administrateurs sur la page d'accueil du site. « Nous ne savons pas encore ce que nous deviendrons, apparemment pas de problème avec la justice, ce qui n'est déjà pas mal ! ».

Une responsabilité partagée ?

Si l'internaute n'a guère de risque d'être inquiété lorsqu'il visite un site diffusant des films en streaming, il n'en va pas de même de ceux qui l'administrent ou en tirent des profits. Début 2008, le responsable du fameux chacal-stream a ainsi fait les frais d'une perquisition et d'une attaque en justice suite à une plainte déposée par l'Alpa (Association de lutte contre la piraterie audiovisuelle). Pour sa décharge, chacal-stream peut toutefois arguer de n'avoir jamais fait autre chose que de référencer des contenus hébergés par d'autres.

"Ces sites ne pourraient exister sans la complicité objective de bon nombre d'acteurs économiques français qui ont un intérêt financier à faire perdurer le système", défendait samedi Luc Besson dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde. Google par exemple, dont les « AdSense » étaient utilisées sur beeMotion pour financer le service, mais aussi Free, qui l'hébergeait ou, plus surprenant, PriceMinister, dont les publicités étaient effectivement affichées sur le site par l'intermédiaire d'une régie.

« De grandes entreprises françaises sont impliquées à tous les niveaux de la chaîne de valeurs, et tirent un intérêt financier d'une activité illégale. Elles sont complices d'un délit, donc coupables, et doivent, dans un Etat de droit comme le nôtre, être condamnées et sanctionnées. », résume Luc Besson, dont la dernière production, Taken, a connu un énorme succès sur les réseaux P2P... aussi bien que dans les salles obscures, notamment aux Etats-Unis où, un an après sa sortie en France, le film enregistre des recettes record.

Qui sont donc les responsables, au sein de cette "chaîne de valeurs" ? La société DivX, dont la technologie est souvent utilisée par les sites de streaming, estime qu'elle n'a pas à répondre de l'usage qui est fait de son logiciel. Les régies publicitaires telles que Google se retranchent quant à elles derrière les conditions d'utilisation de leurs services, qui précisent effectivement que l'éditeur de site qui souhaite utiliser leurs bannières et liens sponsorisés ne doivent publier que des contenus conformes à la loi. L'hébergeur, enfin, à l'image de Free incriminé dans l'affaire beeMotion, se repose sur la loi LCEN, selon laquelle sa responsabilité n'est engagée qu'à partir du moment où il a eu connaissance du caractère illicite des contenus incriminés.

Reste l'éditeur du site, qui ne pourra nier avoir conscience qu'il donne accès gratuitement à des contenus soumis au droit d'auteur. Afin de minimiser les risques, celui-ci ira bien souvent installer son site dans des pays permissifs, où les lois sur le piratage sont beaucoup plus souples et dans lesquels aucune action en justice ne risque d'être intentée contre lui. Sans oublier l'internaute qui, loin de toute considération philosophique sur le droit d'auteur à l'heure de l'Internet mondial, se dit bien content de pouvoir se "mater un bon ptit film gratuitement" "vu comment les prix sont élevés ne serait-ce qu'au ciné", pour reprendre les termes de l'un des utilisateurs de beeMotion.
le 14/02/2009 à 15:19
Mise A Jour de Yahoo BOSS
Depuis le début d'année, mes orientations de développement se sont tourner sur les nouveaux outils de Yahoo pour vous en faire profiter après. Et la, Yahoo a réalisé une mise à jour que j'espérais et ils l'ont fait.

Pour rappel, YahooBOSS est une API de Yahoo vous permettant de mettre un moteur de recherche dans votre site internet.

SearchMonkey est aussi une autre API de Yahoo vous permettant de personnaliser l'affichage des résultats sur internet.

Maintenant vous pouvez mixer les deux en même temps et l'afficher avec la technique de Yahoo Boss, laissant apparaître des nouvelles possibilités pour l'internet avec PHP.

Bien sur ce n'est pas la seule mise à jour, car d'autres sont présentes, disponibles sur l'annonce officielle.

- BOSS Update: Open Monetization, Pricing, Structured Data, and More
le 14/02/2009 à 15:17
Les signes pour repérer un spammeur
De nos jours, les spams sont très réguliers et peuvent nous énerver même pour tous les développeurs et développeuses PHP ou d'autres langages.

Une étude a été réalisée par Joe Manna sur le blog InfusionSoft pour repérer les 50 signes que l'expéditeur est un spammeur.

Même si certains points sont assez poussés, les signes sont facilement repérables, mais d'autres beaucoup plus durs.

Le blog T37 ayant traduit l'article, le lien sera fourni en même temps.

- 50 Signs that You re a Spammer
- 50 signes qui montrent que vous êtes un spammeur
Le magazine Distributique rapporte que Microsoft accuse la société française Wipnord d'avoir récupéré des certificats d'authenticité sur de vieux PC pour les apposer sur des machines vendues à prix cassés au travers son site Internet.

Les faits ont eu lieu entre 2002 et 2005 lorsque la firme française se dénommait Wiplille, laquelle fut déjà condamnée par le tribunal de grande instance de Lille en juillet 2007. Le 7 janvier, la cour d'appel de Douai a tranché en faveur de Microsoft.

Wipnord devra s'acquitter d'une amende de 20 000 euros et son gérant a été condamné à 8 mois de prison avec sursis en plus d'une amende de 200 000 euros. En tout, Microsoft estime que 5000 à 6000 ordinateurs auraient été vendus avec des licences illégales.
Afin de faciliter le travail des développeurs Web et d'encourager les projets collaboratifs, la fondation Mozilla vient de mettre en ligne la première version de Bespin, un éditeur de code accessible depuis le navigateur. Gratuit, Bespin est également open source, le code étant partagé sous licence MPL (Mozilla Public Licence).

Une fois inscrit, on pourra en quelques secondes créer un nouveau projet, et commencer à éditer ses fichiers. Articulé autour des langages Web, Bespin privilégie HTML et JavaScript, et propose les options de base de tout bon éditeur : indentation, coloration syntaxique, copier coller, et possibilité d'annuler une action ou de la rétablir.

A première vue, l'ensemble est à la fois réactif et agréable à utiliser, même si le projet n'en est qu'à ses débuts (version 0.1a). L'interface propose également une ligne de commande, que l'on pourra utiliser pour naviguer d'un projet à l'autre, visualiser un historique des modifications, ou tout simplement exporter ses fichiers (tapez help pour la liste des commandes disponibles).

Pour utiliser Bespin, il faudra impérativement utiliser un navigateur compatible avec la balise "canvas", comme Firefox 3 bien sûr, ou WebKit. Bespin utilise en effet cette extension du HTML, initialement conçue par Apple, qui permet d'effectuer le rendu dynamique d'une image bitmap.

Les auteurs du projet, Ben Galbraith et Dion Almaer, affirment avoir cherché à mettre au point un outil qui soit à la fois facile à utiliser, extensible, rapide et accessible en permanence. Une nouvelle fois, c'est donc le navigateur qui sert de cadre à ce projet hébergé, que présentent ses instigateurs dans la vidéo ci-dessous (en anglais).

Au fait, pourquoi Bespin ? Difficile de ne pas voir dans ce choix une allusion à Bespin, la planète qui abrite la Cité des Nuages dans L'Empire contre-attaque ;-)
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