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Evoquer les erreurs des utilisateurs du réseau social, prend, en général des dimensions importantes. C'est le cas de la mésaventure qui est arrivée à une jeune britannique de 14 ans.Cette dernière a invité pas moins de 21 000 utilisateurs de Facebook pour son anniversaire. Parmi ses invités, des « guests » comme Stephen Hawking ou Justin Bieber qui ont répondu à l'invitation sous de faux comptes. Il faut dire qu'elle n'a pas marqué cet événement comme étant de nature privée mais totalement ouverte à tous.

Outre le caractère insolite, ce fait, loin d'être isolé a le mérite de mettre le doigt sur la complexité des réglages de Facebook mais aussi sur la méconnaissance des utilisateurs des risques à poster certaines informations personnelles.

Rebecca Javeleau n'est donc pas la seule concernée puisque le journal The Telegraph rapporte qu'un tel cas s'était déjà produit en février dernier. 50 personnes non-invitées s'étaient alors rendues à une petite fête organisée par une jeune fille de 15 ans de Liverpool. Ambiance.
Dès le mois de novembre, les utilisateurs du site Yahoo! auront accès à certains jeux distribués par Zynga, l'une des sociétés les plus prolifiques du Web en matière de social gaming. C'est Carol Bartz, directrice générale du portail américain, qui l'a révélé hier.

Yahoo suivra donc les traces d'un autre géant du Web, Facebook, qui a popularisé le social gaming il y a déjà quelques temps. Au sujet du réseau social, Carol Bartz ne cache pas une certaine admiration : "Leur stratégie est brillante. La croissance de Facebook se fait maintenant vraiment dans deux domaines importants, l'international et les jeux sociaux, comme Mafia Wars, Farmville…" A-t-elle déclaré lors d'une conférence retransmise sur Internet.

Néanmoins, selon elle, la mainmise de Facebook sur les jeux sociaux peut être une source de cloisonnement pour les éditeurs de ce type de services, qui se voient "dicter leurs recettes" par le site de Mark Zuckerberg. Carol Bartz a également rappelé, à ce titre, que Facebook ponctionnait désormais "une taxe de 30% sur tous les biens sociaux" vendus par des éditeurs tiers sur le réseau social.

Une théorie qui n'est absolument plus à démontrer puisque Zynga a déjà prouvé par le passé une volonté certaine de ne pas se limiter à un Facebook trop dominateur : l'entreprise a en effet réalisé récemment un partenariat avec MySpace, sur lequel il propose certains de ses titres-phares, à l'instar de Mafia Wars.

Dès novembre donc, les adeptes du portail pourront bénéficier d'une sélection de jeux via une "plateforme Zynga". Le détail des jeux concernés n'a pas encore été dévoilé.
Le groupe de presse Spir Communication a annoncé jeudi la conclusion d'un accord avec le suédois Schibsted (éditeur du gratuit 20 Minutes) selon lesquels ce dernier serait amené à reprendre les 50% qu'il détient au capital du site Leboncoin.fr. Cette plateforme dédiée à la vente d'objets d'occasion entre particulier se voit ainsi valorisée 400 millions d'euros, soit 18 fois l'Ebitda attendu pour 2010.

Dans le même temps, Spir reprendra les actions détenues par Schibsted dans la société Car & Boat Media, éditrice des sites internet d'annonces automobiles Lacentrale.fr et caradisiac.com, valorisée pour sa part à hauteur de 120 millions d'euros.

Du fait de la différence de valeur entre les deux participations échangées ici, s'élevant à 50% de la société concernée dans les deux cas, le groupe Spir profitera d'une compensation qui doit lui permettre « d'améliorer son bilan et notamment de réduire son endettement », ainsi que de se doter « d'une marge de manoeuvre financière pour conduire ses projets de développement ».

Bien que Spir Communication cède là l'un de ses plus beaux actifs en ligne, la Bourse a salué la valorisation du site Leboncoin.fr, puisqu'à 13 heures, le titre prenait 17,38% à 24,65 euros.
le 22/09/2010 à 13:03
Le rapport Gallo a été adopté
Par 328 voix contre 245, le rapport Gallo vient d'être adopté par le Parlement européen. Ce texte de nature non-contraignante vise à encourager les états européens à suivre la vision française en matière de lutte contre le téléchargement illégal. La riposte graduée pourra donc traverser les frontières.

Le rapport, initié par l'eurodéputé Marielle Gallo (UMP) a vocation à appuyer de futures positions dures concernant les mesures anti-téléchargement en Europe. Malgré une critique acerbe, le texte a été adopté.

La Quadrature du Net estime qu'il s'agit là d'un « texte très répressif qui est un pas de plus dans la croisade des industries du divertissement contre leur propre public. Il s'agit d'une négation des droits le plus fondamentaux comme celui d'un procès équitable ou de la liberté de communication ».

Désormais, ce rapport devrait être suivi de propositions législatives. La Commission européenne peut, en effet, adopter des décisions qui prennent comme base de réflexion ce rapport.
Selon une étude publiée par des chercheurs de l'université de Carnegie Mellon, le navigateur Internet Explorer présenterait un problème important dans la gestion de la vie privée. En effet, même si l'internaute a paramétré son logiciel afin de n'accepter aucun cookie, plusieurs grands sites Internet ont trouvé une technique pour contourner ces paramètres.

Le cookie, c'est un petit fichier téléchargé sur la machine d'un utilisateur au sein duquel le site peut y stocker différentes informations tel que son nom d'utilisateur, ses paramètres du site mais également son profil afin de lui retourner de la publicité plus ciblée. Au travers de leur étude, les chercheurs en ont conclu que sur 33 000 sites analysés, un tiers d'entre eux présentaient des problèmes avec Internet Explorer.

Le navigateur examine la politique de confidentialité du site Internet afin de s'assurer que cette dernière correspond bien aux paramètres réglés par l'internaute. Il peut par exemple s'agir de cookies ne stockant aucune données personnelles et potentiellement en accord avec l'utilisateur. Dans le cadre du projet P3P (Platform for Privacy Preferences) défini par le W3C, chacune des règles de confidentialité est traduite par une chaine de caractères placée dans l'en-tête de la page sous la forme d'un fichier XML et ce, afin d'être détectable par le navigateur. Ce dernier pourra alors autoriser ou refuser le téléchargement.

Internet Explorer serait aujourd'hui le seul navigateur à utiliser cette méthode de filtrage, en présentant une gestion plus souple pour chacun des sites Internet. Par opposition, Firefox, Safari et Chrome ne proposent que de bloquer tous les cookies, les accepter par défaut ou bloquer les cookie tiers, c'est-à-dire ceux pouvant être téléchargés depuis un site mais hébergés sur des serveurs tiers (typiquement pour la publicité).

Plusieurs sites Internet ont cependant spécifié un mauvais code au sein de l'en-tête de leurs pages ; ce dernier ne reflétant pas leur politique en matière de vie privée. Selon les chercheurs, cette erreur aurait été commise en collant un morceau de code proposé à titre d'exemple par Microsoft. Par la suite, la firme de Redmond a mis à disposition un tutoriel pour les développeurs web. Les experts estiment que dans 50% des cas problématiques, l'erreur a été faite de manière intentionnelle.

Parmi les grands acteurs du web ne disposant pas d'un code valide reflétant la politique de confidentialité de leurs sites, notons par exemple Facebook, AOL, Amazon, GoDaddy, Hulu et même les sites de Microsoft (Live.com, MSN.com, Windows.com). L'étude montre également que sur 3417 sites Internet bénéficiant d'un certificat TRUSTe, attestant de manière objective la qualité d'un site pour sa gestion de la vie privée, seuls 391 d'entre eux présentaient une chaine de caractère P3P en-tête du code HTML. Parmi ces derniers, 134 présentaient un code erroné.

L'étude complète est disponible ici (Anglais PDF - 26 pages).
La hausse de la TVA sur les forfaits Triple-Play doit être entérinée la semaine prochaine, le 29 septembre lors du vote de la loi de finances pour 2011. Bien que cette augmentation ait été confirmée par le gouvernement et les FAI, certains syndicats dénoncent cette « énième taxe ». Deux d'entre eux ont même lancé une pétition en ligne.La CFE-CGC et l'UNSA Télécoms ont donc fait parvenir un communiqué. Les deux mouvements expliquent que « les opérateurs télécoms sont assujettis à 17 taxes et 9 redevances. Nous arrivons à une décorrélation importante entre le coût réel de la prestation et le prix payé par les consommateurs. C'est la même chose qu'avec l'essence ».

Du coup, les syndicats craignent que la hausse soit répercutée sur le personnel des opérateurs. Ces derniers pourraient être tentés de limiter le coût de cette hausse en augmentant les tarifs de 2 à 3 euros. D'un autre côté, les syndicats craignent également une nouvelle volée de délocalisations.

La CFE-CGC et l'UNSA évoque alors une véritable « pression sur le personnel afin de limiter l'augmentation de l'abonnement auprès du consommateur. Free a implanté son centre d'appel au Maroc. Au sein d'Orange, après 20 heures ou le dimanche, le service clients est délocalisé car l'heure supplémentaire en France coûte cher ». Le collectif invite donc d'autres syndicats à se joindre à leur mouvement.
Si la prochaine version d'Internet Explorer semble prometteuse, Microsoft vient de perdre l'un des gourous travaillant sur le navigateur. Spécialiste du web depuis 1993, Chris Wilson fut notamment chargé de porter le logiciel Mosaïc sur le système Windows. En 1995 il rejoint l'équipe de Microsoft, où il tenait dernièrement le rôle de responsable de la plateforme et de la sécurité d'Internet Explorer.

Chris Wilson a participé à de nombreux travaux sur la standardisation du web avec le consortium W3C. Il a notamment aider à développer la syntaxe des feuilles de style (CSS), HTML, DOM et XSL. C'est par exemple grâce à lui qu'il est possible d'utiliser conjointement les balises HTML (bold - en gras) et (en italique). Par ailleurs ses travaux ont permis la prise en charge de CSS par Internet Explorer. Dernièrement Chris WIlson fut chargé de développer le moteur d'exécution JavaScript du navigateur.

Sans plus de précision, le spécialiste a récemment annoncé avoir accepté une offre d'emploi en tant que développeur chez Google. "Je suis très content de travailler pour une société qui investit tellement pour améliorer la plateforme web pour les développeurs et les consommateurs", explique-t-il dans un billet publié sur son blog.

Interrogé par nos soins Chris WIlson explique qu'il ne travaillera pas tout de suite sur le navigateur Chrome. En effet, le développeur a signé des accords de non-concurrence valables 1 an avec Microsoft.

Merci KP2 pour cette information.
Sur son blog officiel Google annonce avoir pris de mesures pour lutter contre certains annonceurs utilisant Google Adwords afin de promouvoir leurs sites Internet pour commercialiser des produits pharmaceutiques interdits à la vente. En achetant quelques mots-clés, les cyber-marchands peuvent alors voir leurs sites promus sur les résultats d'une requête générée par un internaute.

Google explique avoir mis en place plusieurs procédures avec notamment une vérification des annonceurs, le blocage automatique de certains mots-clés tout en modifiant la politique d'utilisation du service Google AdWords. Cependant "un petit pourcentage de ces publicités pharmaceutiques générées par ces sites frauduleux apparaissent toujours sur Google". Michael Zwibelman, conseiller chez Google pour les litiges juridiques, annonce avoir déposé une plainte contre les annonceurs ayant violé les pratiques d'utilisation. La liste des personnes incriminées devrait d'ailleurs se densifier au fur et à mesure que Google identifie les sites Internet frauduleux.

En août 2009, un rapport publié par LegitScript expliquait qu'une vaste majorité de liens sponsorisés sur le moteur de Bing n'étaient pas considérés comme légaux par les autorités américaines. Les experts expliquaient que 89.7% des pharmacies apparaissant sur les résultats de recherche n'étaient pas conformes à la loi en vigueur. C'est ainsi que les analystes auraient pu passer commande sans aucune prescription médicale. Certains de ces médicaments se seraient révélés être des produits de contrefaçon. Les analystes auraient également découvert une faille via laquelle il était possible de présenter une URL sur la page des résultats du moteur de recherche tout en pointant cette dernière vers un autre site ; une technique utilisée afin d'attirer l'internaute pour le retourner vers un site frauduleux.
Microsoft se félicitait hier d'avoir atteint, en 48 heures, les 2 millions de téléchargements pour la version Beta d'Internet Explorer 9.0 (voir IE9 bêta : 2 millions de téléchargements en 48 heures). A l'occasion de la GPU Tech, la conférence NVIDIA sur l'utilisation professionnelle des puces graphiques, Microsoft est revenu sur certaines statistiques liées à Internet Explorer 9.0 Beta, lors d'une session sur le navigateur web.

C'est ainsi que le géant des logiciels a communiqué aux participants quelques chiffres sur les puces graphiques utilisées avec Internet Explorer 9.0. 24 heures après la mise à disposition de la version Beta, Microsoft comptait déjà que son navigateur avait été utilisé avec 518 puces graphiques différentes. Plus intéressant encore, la répartition des puces graphiques selon les trois grands fabricants, AMD, Intel, NVIDIA après 24 heures. On vous laisse découvrir les chiffres :

Naturellement, ces chiffres ont depuis déjà évolué et la répartition des trois protagonistes n'est plus la même. A terme, il est évident que la part de marché d'Intel sera la plus large. Comme le notait Microsoft lors de sa session, ces chiffres sont représentatifs des configurations utilisées par les early adopters. A la question de savoir comment Microsoft avait collecté ces informations, la réponse fut plus gênée. Tout passe par le programme Windows Customer Experience qui fonctionne en opt-in (il faut donc s'inscrire) : oui mais voilà l'opt-in se fait au niveau de Windows Vista ou Windows 7, mais pas spécifiquement pour Internet Explorer 9.0.

Autre donnée issue de cette session concernant cette fois le processeur : le nombre moyen de coeurs sur les machines où Internet Explorer 9.0 a été installé s'élève à 2,42.
Le site developer.com a publié un article, montrant comment réaliser vraiment une application PHP pour Android.

L'article montre comment installer une plateforme PHP sur un émulateur sans posséder de téléphone Android. L'émulation peut fonctionner sur tous les systèmes d'exploitation (Linux, Mac, Windows). Par ailleurs, un script PHP montre la mise en place d'une application avec le SDK de l'émulation.

- Build Your First PHP for Android Application
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