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20 millions de téléchargements sur l'App Store : c'est le chiffre revendiqué hier par l'éditeur de jeux sur mobiles Gameloft, qui distribue ses applications sur le market place d'Apple depuis l'été 2008.

Il faut dire que l'entreprise française est plutôt prolifique puisque depuis son arrivée sur l'App Store, elle a distribué plus de 100 jeux dont 47 depuis le début de l'année 2010. Sur ces derniers, 42 ont été classés dans le top 5 des jeux les plus téléchargés.

"Les lancements successifs de l'iPad et de l'iPhone 4 ont ouvert de nouvelles perspectives aux développeurs comme Gameloft, et nous ont permis de transformer encore une fois l'expérience de jeu des consommateurs" a commenté le PDG Michel Guillemot. 2010 semble en effet être une année de choix pour l'entreprise qui revendiquait les 10 millions de téléchargements en janvier dernier.

Gameloft propose de nombreux portages de jeux tirés de licences célèbres comme Splinter Cell : Conviction, The Settlers, Prince of Persia ou encore Assassin's Creed pour ne citer qu'eux : sans doute l'une des raisons du succès. L'éditeur proposera 15 titres supplémentaires d'ici à la fin de l'année dont Assassins Creed: Altaïr's Chronicles HD et Spider-Man : Total Mayhem HD sur iPad et Modern Combat 2 : Black Pegasus sur iPhone.
Le Conseil des ministres vient de présenter un nouveau projet de loi qui vise à intégrer rapidement les dispositions du Paquet Telecom. Si ce projet est accepté, il autorisera le gouvernement à adopter des ordonnances pour transposer les mesures européennes en droit français.

Concrètement, les mesures contenues dans le paquet Telecom ne seront pas discutées devant le Parlement (Assemblée + Sénat) et n'auront donc pas de débat. Même si la voie de l'ordonnance permet plus de rapidité dans la transposition, le Paquet doit être intégré au plus tard le 25 mai 2011, certains sujets ne souffriront d'aucune opposition.

Certains points sont pourtant critiques, notamment à propos des « mesures proposées qui ont pour objectif de renforcer la sécurité et le contrôle des équipements mis en oeuvre par les opérateurs qui sont directement impliqués dans les interceptions des communications électroniques prévues par la loi ».

Le risque est donc clair de voir certaines mesures être adoptées à l'insu de tous. Des dispositions portent par exemple sur la surveillance des réseaux au nom de la sécurité intérieure ou de la lutte anti-terroriste. D'autres pourraient promouvoir la pratique du Deep Packet Inspection (DPI), utile pour analyser les paquets qui transitent sur le Web...
La semaine dernière, Microsoft a publié une première bêta pour son prochain navigateur Internet Explorer 9. Plus rapide, plus respectueux des standards, ce dernier devrait permettre à la société de faire table rase sur les versions précédentes en suivant la concurrence vers l'usage des nouvelles technologies web du HTML5.

Roger Caprioti, de l'équipe de développement, explique que le logiciel aurait enregistré 2 millions de téléchargements en seulement deux jours. A titre de comparaison, pour la bêta d'Internet Explorer 8, publiée en août 2008, les serveurs avait comptabilisé 1,3 million de téléchargements en cinq jours. Reste à espérer pour Microsoft que la part de marché du navigateur croîtra aussi rapidement, ce qui ne devrait pas être une mince affaire puisqu'une part importante des internautes utilisent toujours Windows XP, un système sur lequel IE9 n'a pas droit de cité.

Rappelons que le navigateur Opera 10, publié le 1er septembre 2009, avait été téléchargé 10 millions de fois en une semaine. Firefox 3.5, disponible au 30 juin 2009, avait été installé 5 millions de fois en 24 heures.
Ce lundi nous avons expliqué une petite anecdote au sujet d'une bourde du ministère de la Culture. Le magazine en ligne La Tribune de l'Art accusait clairement les services en charge de la gestion du site Internet du ministère de la Culture d'avoir réutilisé sans son consentement une photographie prise par son directeur de la publication. Cette fois, la rue de Valois a bien crédité la photo en cause.

Le ministère admet donc sa faute à demi-mot puisqu'il évoque un « problème technique d'affichage du crédit de photo » et présente également ses excuses à l'auteur de la photographie en question. Un message au bas de la page concernée fait donc office d'excuses. Il explique qu': « à présent ce défaut d'affichage est résolu et la photo a retrouvé son crédit d'origine ».

Bien que cette affaire soit close selon l'auteur de la photographie, elle montre également le décalage entre un discours protecteur des droits d'auteurs et une application parfois hasardeuse. Sans non plus jeter la pierre sur cette photographie, le logo Hadopi, les plusieurs chansons utilisées par l'UMP lors de campagnes (MGMT, Daft Punk) sans autorisation, ces organismes pourraient choisir d'adopter un « code de bonne conduite ». Histoire de donner l'exemple.
Le groupe allemand United Internet AG, qui détient notamment le bureau d'enregistrement 1 & 1 et le service de courriers électroniques GMX, a conclu un partenariat avec Media Corporation, maison mère de Movieline.com, Boy genius Report ou encore Mail.com.

Plusieurs sources proches de cette affaire expliquent que United Internet AG aurait investi entre 50 et 100 millions de dollars au sein de Mail.com. Le service sera migré vers United Internet AG et le nom de domaine devrait ainsi être proposé aux internautes souhaitant créer une nouvelle adresse de messagerie à partir de GMX. Par ailleurs la technologie déployée sur GMX devrait remplacer celle du service d'email du portail Mail.com.

MMC possède près de 300 noms de domaines (noms de métiers, passions...) à partir desquels les internautes peuvent créer une adresse email. Les deux parties ont également décidé de collaborer sur le portail India.com détenu par MMC. Cette collaboration se traduira dans un premier temps avec le déploiement de la plateforme GMX sur le service de courriers électroniques du portail. Rappelons qu'en février 2009, GMX France avait racheté le service Caramail.fr.
En plus d'une mise à jour de son webmail et de son moteur de recherche, Yahoo! devrait également poursuivre le développement de son client de messagerie instantanée Yahoo! Messenger. Ainsi la version mobile déployée sur iPhone ou Android s'enrichira d'une nouvelle fonctionnalité permettant d'effectuer des conversations en visio-conférence avec les autres smartphones ou les ordinateurs équipés d'une webcam. L'application fonctionnera en 3G ou en WiFi.

Fring s'était déjà inspiré du mode FaceTime, présenté par Apple au sein de l'iOS 4, en proposant de passer des appels en visio vers les smartphones Android, Nokia et iPhone et avec la prise en charge du mode 3G (non officiellement supporté par Apple). La nouvelle application de Yahoo! devrait être déployée en même temps que Yahoo! Messenger 11.

Cette prochaine version pour PC devrait tirer parti de l'infrastructure de Jajah pour le service Yahoo! Voice et permettre d'effectuer des appels téléphoniques à moindre coût vers les lignes fixes et mobiles. Par ailleurs, à l'instar de WIndows Live messenger, le client renforcera les fonctionnalités communautaires avec la possibilité de publier des mises à jour sur différents réseaux, de discuter avec ses contacts sur Facebook Chat ou encore de jouer à différents titres proposés par l'éditeur Zynga.

Aucune date de publication n'a été annoncée.
Avec Internet Explorer 9, Microsoft a choisi de réinvestir le terrain des technologies Web et la démarche sera logiquement appliquée sur un certain nombre des sites édités par le groupe. Le moteur de recherche maison, Bing, devrait être l'un des premiers à profiter du nouvel engagement manifesté par Microsoft en faveur du HTML5, comme en témoigne cette nouvelle interface qui n'a pas encore été mise en ligne.

Celle-ci tire sans surprise parti de certaines des nouveautés intégrées à l'interface d'IE9, comme la possibilité d'épingler un site en barre de lancement rapide, afin d'accéder à un mini menu dédié. Le gros du travail a toutefois porté sur le rendu des pages et sur les transitions. Ainsi, le nouveau Bing proposera de passer d'un onglet à l'autre sans recharger la page, le tout étant enrichi d'un effet de défilement du plus bel effet.

Le fond d'écran situé en arrière plan de la barre de recherche (idée que Google a brièvement emprunté à Microsoft avant de faire marche arrière) aura quant à lui la possibilité de s'animer par le biais de vidéos, qui seront alors lues au travers de la balise "video".

Toutes ces nouveautés seront accessibles sur IE9, bien sûr, mais aussi sur les navigateurs concurrents dans la mesure où ceux-ci proposent aussi la prise en charge du HTML5. Microsoft assure toutefois que l'expérience sera bien plus fluide sur IE9, du fait de sa capacité à exploiter la carte graphique pour effectuer les opérations de rendu de la page.
Au fur et à mesure que le marché des sites de ventes privées se développe - notamment à partir de la France - il devient plus compliqué. On avait déjà Vente-privée.com, leader incontesté et qui a réussi une belle sortie vers la Silicon Valley. On avait son challenger, Showroomprivé, qui, s'il part loin derrière, a réussi le tour de force de lever 37 millions d'euros auprès d'Accel Partners. On a maintenant Private Outlet, qui vient de lever 9 millions d'euros dans un second tour de table.

C'est le fonds d'investissement belge Gimv qui, avec 4,9 millions d'euros injectés dans Private Outlet, vient compléter ce tour de table. Le site a ainsi levé 16,3 millions en trois ans, auprès de plusieurs investisseurs internationaux comme BayTech Venture, ou encore Kreos Capital. L'équipe de 105 personnes est d'ailleurs déjà présente à Paris et Milan, et les membres - 1,8 million d'internautes - sont répartis dans cinq pays. France, Royaume-Uni, Espagne, Italie et Allemagne.Avec l'argent de Gimv, Private Outlet veut poursuivre son développement international. Il est encore loin de Showroomprivé et de ses 6 millions de membres, mais Private Outlet a un argument de différenciation : il permet de voir quels articles sont en vente sans qu'il soit besoin de s'inscrire. Pour acheter, par contre, il faut devenir membre. Pour le reste, il est relativement classique : jusqu'à 70% de remise sur 150 marques, dont certaines assez luxueuses. L'argent de Gimv et un détail stratégique ne permettront peut-être pas à Private Outlet de venir bousculer ses grands frères, mais le marché des sites de ventes privées, lui, confirme sa bonne santé.
D'étonnants messages en forme de bandeau noir ont fleuri mardi midi sur le réseau social Twitter. Les curieux qui, identifiés auprès du service, survoleront ce bandeau auront alors la surprise de voir qu'un message est posté, sans action particulière de leur part, sur leur propre compte.

Ce message, qui est en réalité un pan de code JavaScript contenu en 140 caractères, assure une rapide propagation de ce spam d'un nouveau genre, au sein duquel on découvre le plus souvent un lien renvoyant vers un site pornographique.

Cette attaque, qui a permis la rapide propagation de messages de spam (parfois détournés par des internautes facétieux), semble relever d'un mode opératoire bien connu sur Internet : le XSS, ou cross-site scripting, qui consiste à profiter d'un champ de formulaire pour diffuser un code qui sera ensuite interprété sur la page cible si cette dernière n'est pas suffisamment sécurisée.

Voici un exemple du code utilisé :http://t.co/@"onmouseover="document.getElementById('status').value='RT onesque';$('.status-update-form').submit();"font-size:500pt;/

Très rapidement, le code initial est repris et détourné par d'autres utilisateurs, ce qui fait varier la nature de l'attaque. Vers 14h40, sur notre compte atteint par la première vague d'attaques, nous avons par exemple découvert qu'un lien dissimulé dans le haut de la page provoquait la reprise sur notre propre compte du dernier message (dit retweet) affiché par le service.

La source exacte de l'attaque n'a pour l'instant pas été identifiée. Il n'est toutefois pas impossible qu'elle réside au niveau du raccourcisseur d'URL utilisé par Twitter, qui se charge de convertir les longues adresses Web en courtes séquences de caractère associées au domaine t.co.

En attendant que la vulnérabilité soit comblée, il est donc conseillé de ne pas utiliser la version Web de Twitter. Les clients logiciels qui interagissent avec le service ne semblent pas affectés par le problème.
le 21/09/2010 à 12:53
Apple comble une faille de sécurité
Apple a publié, via son système de mise à jour, un correctif afin de combler une faille de sécurité. Cette dernière a été repérée au sein du protocole AFP (Apple Filling protocol) permettant de partager des fichiers avec les autres utilisateurs sous Mac OS X. Ce patch concerne la version 10.6 de Mac OS X (standard et serveur), les versions antérieures n'étant pas affectées.

Apple précise qu'un hacker malintentionné connaissant le nom associé à un compte utilisateur pourrait accéder à des dossiers partagés sans pour autant connaitre le mot de passe. Retrouvez la publication officielle ici.
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